Située à l'est du Morbihan, Saint-Martin-sur-Oust (anciennement "Saint-Martin" jusqu'au décret du 3 octobre 2008) est limitée au nord par Saint-Laurent, Ruffiac et Saint-Nicolas-du-Tertre, à l'est par Les Fougerêts, au sud par Peillac et Saint-Gravé et à l'ouest par Saint-Congard.
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Située à l'est du Morbihan, Saint-Martin-sur-Oust (anciennement "Saint-Martin" jusqu'au décret du 3 octobre 2008) est limitée au nord par Saint-Laurent, Ruffiac et Saint-Nicolas-du-Tertre, à l'est par Les Fougerêts, au sud par Peillac et Saint-Gravé et à l'ouest par Saint-Congard.
A l'époque féodale, plusieurs seigneuries occupent le territoire : L'Aulne, La Bolais, Castellan, Gallivier, La Houssaye, La Luardaye, La Née, La Plissonnais, La Touche-Péart, La Touche-Ronde, Trélan et La Vieilleforêt. La plus importante est la grande seigneurie de Rieux.
Sous l'Ancien Régime, Saint-Martin dépend du territoire ecclésiastique de Rieux, du diocèse de Vannes et de la sénéchaussée de Ploërmel.
Saint-Martin est érigée en commune en 1790, rattachée au canton de La Gacilly et au district de Rochefort (lois des 14 décembre 1789 et 8 janvier 1790). En 1795, le district est supprimé et l'administration municipale est placée entre les mains de la municipalité de canton de La Gacilly, composée des représentants des communes de Cournon, Glénac, La Gacilly, Les Fougerêts et Saint-Martin (Constitution du 5 fructidor an III). En 1800, l'assemblée communale de Saint-Martin est rétablie et la commune intègre l'arrondissement de Vannes (loi du 28 pluviôse an VIII). En 1801, elle est rattachée au canton de Carentoir (loi du 8 pluviôse an IX et arrêté du 3 brumaire an X) puis au canton de Guer depuis 2014 (décret n° 2014-215 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le Morbihan).
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population. En 2015, la population comptait 1 358 habitants, les Martinais, répartis sur un territoire de 28,24 km².
Le nom de la commune en breton est Sant-Varzhin-an-Oud.